De 1959 à 1962 :
La nouvelle vague va connaître un énorme
succès pendant les trois premières années.
Les 400 coups > 450 000 entrées, A bout de souffle
> 350 000.
Un acteur : Jean-Paul Belmondo, qui sera comparé
à James Dean, Robert Mitchum.
L’idée de la nouvelle vague est
que tout le monde peut devenir réalisateur.
René Clément à 45 ans
en 1960 et il ne réalise plus de film. Carné /
Prévert arrête de travailler. La nouvelle vague
va s’affronter à la crise et à de nombreux
échecs commerciaux.
150 réalisateurs en 1 an cela ne fait pas 150 génies.
La nouvelle vague va se heurter au succès de la télévision
: chaîne unique 43 puis 45-64. Cette chaîne unique
a dépassé le million de spectateur.
Urbanisation des années 1950 qui fait grimper le prix
du mètre carré en centre-ville.
On parle de film avionnable : film sans scène un peu
chaude.
La nouvelle vague a influencé le cinéma
policier des années 60.
« Le film noir c’est le dynamisme de la mort violente
».
Ensuite on définit le film noir, le
film policier avec les seconds rôles :
- Le policier se définit par un ensemble de scènes
brutales.
- Le film noir est défini est défini par le point
de vue du criminel. Opposition entre un héros solidaire
et la société. Déroulement insolite du
récit. Histoire qui en cache une autre. La femme fatale,
attractive. Le bien qui devient le mal. C’est le représentant
du bien qui devient représentant du mal. > Sadoul
: « L’histoire reste pâteuse comme un cauchemar
ou comme des propos d’ivrogne ».
En France, l’héritage du film
policier c’est :
- Les séries télévisées, possibilité
d’une suite.
- S’inspire aussi du réalisme poétique.
- L’influence du film américain : Le Faucon Maltais.
(Bogart)
Le film noir va être une synthèse
de 3 types de films : Film policier (Fox, MGM), Film fantastique,
Film d’enquête.
Le film noir devient la panacée : Le pacte des loups,
le silence des agneaux.
Le cas Michel Audiard :
Entre 1960 et 1980 deux formes de cinéma.
Cinéma intellectuel, cinéma qui a un parti pris
non-intellectuel.
La nouvelle vague (de gauche) a beaucoup critiqué Audiard
(de droite).
Georges Lautner : Les tontons flingueurs, créateur de
Bebel et du personnage de Gabin d’après guerre.